Pourquoi, je porte une cage de chasteté...

A l'initiative de ma femme, je porte depuis plusieurs mois une cage métallique bien ajustée à mon clito.
Depuis lors, je ne peux plus m'en passer au point de me sentir nu lorsqu'elle me l'enlève pour faire ma toilette et me raser les poils.

N'ayant plus d'érection avec ma cage, je peux mieux me concentrer sur ma chatte pour avoir un orgasme anal.

Mon clito restant en cage en permanence, je n'ai plus les érections nocturnes indispensables au bon fonctionnement de mes tissus érectiles.
J'ai remarqué également que mon taux de testostérone avait fortement diminué.
Sur deux ans, mon clito a perdu 2 cm au repos et 4 cm en érection
En constatant ma perte de virilité provoquée par ma cage, j'ai pris conscience que ma femme me castrait sans me le dire lentement mais sûrement jour après jour.

Je suis malgré tout satisfait d'avoir un sexe de sissy car je me sens plus féminine.
En portant ma lingerie glamour transparente, j'arrive à le cacher entre mes jambes à l'aide d'un ruban adhésif.
J'adore voir le contraste de mon clito en cage avec l'énorme gode de plus d'un kilo que ma femme manie d'une main experte dans ma chatte.
Elle utilise également souvent un strapon pour mieux me dominer car cela lui procure une forte excitation cérébrale.
Elle a pris facilement le pouvoir sur moi en venant combler ce grand vide que j'ai entre les cuisses.
Ma part de féminité s'étant amplifiée avec le temps, je préfère maintenant jouir comme une fille que comme un homme car mon plaisir anal est bien plus intense que mon orgasme pénien.
Peu de personnes savent que les cinq premiers centimètres du rectum sont plus sensibles qu'un vagin car mieux vascularisés.
C'est la raison pour laquelle je suis très vite devenu addict à ces plaisirs.

Lorsque ma Maîtresse s'approche de moi, je suis fasciné par cette bite monstrueuse sortant de son ventre qui se balance lourdement entre ses cuisses.
Je m'allonge sur le dos en posant mes jambes sur ses épaules car c'est la position qui stimule le mieux mon point G.
Elle écarte la dentelle de ma culotte fendue pour presser son gland contre mon œillet...
Puis, elle commence à m'ouvrir la chatte par de savantes pressions du bassin.
Chaque centimètre me comble d'un plaisir nouveau.
Mes yeux plongés dans les siens, je gémis de plaisir en sentant son gode de 9 cm de diamètre stimuler ma prostate tout en irradiant ma chatte d'une douce chaleur qui me donne des papillons dans le ventre.

Comme la plupart des femmes, c'est plus la grosseur d'un sexe que sa longueur qui me fait jouir en amplifiant mon plaisir à la fois par la pénétration et la dilatation qu'il procure.

Je deviens fou de désir lorsque j'entends son bassin claquer contre mes fesses.
Mon excitation est à son comble lorsque je vois au dessus de ma tête mes talons aiguilles tressauter sous les coups de boutoirs de ma Maîtresse. Quelques instants plus tard, mon clito inerte se vide en minces filets de sève, rythmé par les pressions expertes de ma Maîtresse qui se répandent sur ma guêpière et mes cuisses gainées de nylon.
Lorsqu'elle se retire de mes reins, je suis étourdi de plaisir et je reste immobile un moment, les cuisses écartées, la chatte béante pour savourer les dernières contractions de mon anus.
En voyant mon clito replié dans sa coquille comme un escargot, je constate que je vais devoir changer de cage pour une plus petite.
Ma femme est ravie car elle pourra ainsi mieux contrôler ma sexualité et me métamorphoser en lesbienne soumise dans son lit.
- Je suis contente que tu ne bandes plus, me dit-t-elle.
- Je venais juste d'acheter un élastrator car j'étais impatiente de te castrer plus rapidement.